Les effets négatifs de l’APs peuvent être gérés par des interventions sur le mode de vie, notamment en portant une attention particulière à l’exercice, au régime alimentaire et à la restriction de la consommation d’alcool et de tabac.

Rester actif malgré les « hauts et les bas » de l’APs peut sembler intimidant, mais ça ne devrait pas l’être. Faire de l’exercice régulièrement (30 à 60 minutes, 4 à 7 jours par semaine) peut réduire les mécanismes inflammatoires à l’origine des symptômes et renforcer les muscles qui soutiennent les articulations. Cela inclut la marche, le vélo, la natation, le yoga et toute autre activité qui n’est pas intense. Consultez une ou un physiothérapeute, ou une ou un physiatre pour plus d’informations et des idées d’entraînements.

Il est tout aussi important de maintenir une alimentation saine et équilibrée, composée en grande partie d’aliments d’origine végétale (dont 5 portions ou plus de fruits et légumes), de poisson et de légumineuses, de réduire la consommation de viande rouge et de produits laitiers, et d’éviter les aliments riches en graisses saturées et en sucres transformés. L’alcool et le tabac sont également des déclencheurs d’inflammation et doivent être évités, si possible.